dimanche, septembre 28

je ne pouvais pas passer cela sous silence




Les pratiques d'internet influencent les jeunes avec leur téléphone portable, regardez bien la parralèle qui est faite dans cet article et les termes anglais utilisés, parents soyez familiarisés avec tous ces termes qui apparaissent à CAUSE d'internet.Et les conséquences dans le comportement des jeunes, habitués à se servir d'internet à des fins de voyeurisme, et qui passent aux actes dans la vie réelle.Une nouvelle pratique du net apparait....




Syringa



ENQUÊTE-->
Actualité Béthune
Un cas de « sharking » dans un village du Lillérois
samedi 19.07.2008, 05:09 - La Voix du Nord



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ENQUÊTE
Une adolescente partiellement dévêtue par un groupe de jeunes, toutça filmé par un téléphone portable. C'est un cas de « sharking », ça s'est passé dans le Lillérois. Les auteurs ont été démasqués.
On connaissait le « happy slapping », des scènes de violences gratuites, plus ou moins violentes, qui sont filmées et diffusées, notamment sur Internet. Un nouveau phénomène fait son apparition : le « sharking ». Moins violent, peut-être, mais au moins aussi humiliant. Il s'agit de filmer et de diffuser la vidéo d'individus qui, en pleine rue, parviennent à dénuder les parties les plus intimes de jeunes filles, la poitrine ou les fesses.
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Le phénomène tend à se répandre sur Internet et donne donc des idées aux internautes. Notamment à quelques jeunes du Lillérois. Les faits remontent en fait à la mi-mai. Un groupe de collégiens, tous élèves du même collège lillérois étaient sur la place d'un village du Lillérois, au retour de l'école.
La poitrine dénudée
Quand, subitement, un adolescent maintient les mains d'une jeune fille âgée de 15 ans dans le dos pendant qu'un autre retire les bretelles de son tee-shirt et lui dénude la poitrine. Toute la scène est filmée avec un téléphone portable par un autre adolescent qui ne perd pas une miette de la scène qui circulera ensuite au sein du petit groupe de potaches.
La mauvaise plaisanterie s'est ébruitée jusqu'à revenir jusqu'au commissariat d'Auchel, quelque temps après. Une plainte a été déposée et une enquête a été ouverte. Les policiers ont tout d'abord effectué des recherches pour mettre la main sur les images. Ils ont ensuite identifié les adolescents. Quatre ont été entendus au commissariat, trois âgés de 15 ans et un de 17 ans. Leur version, parlant de consentement de l'adolescente, n'a pas fait long feu devant les policiers.
Les quatre sont, au final, convoqués devant le juge des enfants. •
S. D.

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